Tellement mais tellement touchée par ce texte de Mélie! Que je reçois cinq sur cinq…. J’aimerais tant qu’elle soit là, près de moi, qu’on parle de Mauricette (on a toutes qq chose de Mauricette en nous)…
Bref, j’aimerais qu’on parle la nuit entière comme ça s’est passé avec Ludivine l’été dernier. Puis qu’on passe des larmes au rire…
Tu dis que tu n’es pas une fée; peut-être que ce n’est pas le mot, mais en tout cas, Mauricette, elle fait partie de ces extra-humaines que j’aime tant sur cette bonne vieille planète terre…. ❤
La plupart du temps, lorsque l’on parle des flammes jumelles on évoque le fantasme, le rêve, tout ce qui est beau. Sauf que, dans la vie, les choses sont plus nuancées.
Les rapports peuvent être durs, violents, destructeurs. L’histoire peut dégénérer, apporter la souffrance, la peine, le regret et l’amertume aussi.

« La souffrance du corps est peu de chose vis-à-vis de la souffrance du cœur. »
Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 16 juillet 1876.
Mauricette a rencontré l’amour. Elle aime fort, très fort, trop fort, ne veut plus vivre que lui, jour et nuit. Et c’est bien ce qui la perturbe.
Les aléas de la vie l’ont rendu craintive et peu sure d’elle, mais elle aime. Elle aime d’un amour infini, idyllique, inimaginable. Un amour troublant ou se mêlent le bonheur et les souffrances destructrices, la peur de le perdre. Ses angoisses de le perdre qui la rendent si instable et intolérante. Les…
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J’aime les gens qui aiment sans savoir pourquoi ils aiment. C’est qu’alors ils aiment vraiment – André Gide…
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Je crois que Mauricette va devoir apprendre, elle aussi, a épaissir sa carapace.
Bisous Solène et belle journée
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Merci de votre passage « chez moi », j’aime votre style.:)
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